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Courir pendant la grossesse : oui pour les habituées

Le running est une activité physique qui fait du bien à tout le corps : les muscles, les articulations, le cœur et le mental bénéficient de ses bienfaits. Mais attention, débuter cette activité pendant la grossesse est une mauvaise idée.

D’après l’un des articles de cette page, le footing pendant la grossesse est plutôt pour celles qui ont l’habitude de pratiquer ce sport régulièrement. Cela évite les blessures et la fatigue excessive, car elles connaissent leur rythme et leur corps a l’habitude de subir les petits chocs de la course à pied.

Courir pendant la grossesse : oui durant les six premiers mois

Les adeptes de running peuvent exercer cette activité durant les six premiers mois de grossesse. Toutefois, il y a des conditions à respecter : courir à une vitesse modérée pour éviter les chocs, ne pas avoir subi une grosse prise de poids qui entraîne un mal de dos et favorise les chutes à cause du déplacement du centre de gravité.

Au-delà des 6 mois, la femme enceinte peut pratiquer des sports moins traumatisants comme la marche ou la natation.

Courir pendant la grossesse : non pour les grossesses à risques

Même si vous êtes une grande sportive pratiquant le running, il faut y faire une croix si votre grossesse est à risque. Cela concerne la grossesse multiple, un antécédent d’accouchement prématuré, un antécédent de prééclampsie, un placenta praevia, un col légèrement ouvert, une hémorragie ou une fuite de liquide amniotique, etc.

Courir pendant la grossesse : les précautions à prendre

La course à pied pendant la grossesse ne consiste pas à battre des records ou défier son endurance. Il s’agit de maintenir une activité physique relaxante durant cette période où les muscles ont tendance à se relâcher. Il faut ainsi écouter son corps et réduire l’intensité des exercices.

La femme enceinte doit également être bien équipée pour courir : une bonne tenue qui ne comprime pas le ventre, la bonne paire de baskets de running, le bon soutien-gorge de sport ; tout doit être au rendez-vous pour un confort optimal.

L’hydratation est aussi très importante. On doit boire 2 fois plus d’eau que pendant le running d’avant-grossesse.

Courir pendant la grossesse : les bienfaits

Le running pendant la grossesse présente des bienfaits multiples pour la future maman et le bébé. Cela réduit le risque de douleur lombaire, de diabète gestationnel, et d’hypertension. Cela évite également une importante prise de poids qui présente des risques, aussi bien pour le bébé que pour la maman.

Le plus important c’est l’effet que la course à pied a sur le moral de la femme enceinte. Elle est bien dans son corps et est radieuse. Tout risque de dépression prénatale est éloigné.

Courir pendant la grossesse : les idées reçues

Malgré ce que l’on raconte, courir durant la grossesse n’augmente pas le risque de fausse couche, ni d’accouchement prématuré, ni d’un petit poids de naissance, ni d’intervention chirurgicale. Tout cela n’est que des idées reçues.

Différentes types de bateau à moteur

En général, il existe six types de bateaux à moteur : les auxiliaires, petits bateau pneumatiques très courants faits en PVC ou hypalon avec un plancher gonflable. Les jets skis sont très faciles à utiliser pour une à trois personnes qui aiment les sensations fortes. Le bateau à étrave ouverte ou bowrider qui est un bateau de croisière pas très grand et très personnalisable. Ensuite, les bateaux semi-rigides ayant une coque rigide et des flotteurs gonflables sont disponibles en différentes tailles mais ils manquent d’espace intérieur. Les bateaux de cabines possèdent un hébergement basique pour deux personnes et d’autres types suivant le besoin. Enfin, le bateau de pêche sportive est le bateau idéal pour la famille.

Utilisations des bateaux à moteur

L’utilisation de ces différents bateaux à moteur est aussi très variée : les auxiliaires sont recommandés pour la navigation de plaisance et le transport de marchandises d’un lieu à un autre. Les jets skis servent à atteindre les endroits inaccessibles en bateaux comme certaines plages paradisiaques. Le bateau à étrave ouverte est utilisé comme un bateau de croisière. Concernant les bateaux semi-rigides, ils sont classés comme bateau de plaisance et sont très utilisés pour le secourisme en mer ou le transport de cargaison. Avec sa vitesse, sa performance et son confort, les bateaux de cabine sont recommandés pour la croisière et les courses nautique surtout les croiseurs à haute altitude. Les bateaux de pêche sportive sont, comme leur nom l’indique, recommandés pour la pêche.

Le surf

Beaucoup s’accordent à dire que la création du surf remonterait à 600 ans et serait d’origine polynésienne. Aujourd’hui, le surf est le sport nautique le plus populaire au monde pour deux raisons. D’abord, il nécessite très peu de matériels et surtout, il est très médiatisé.
Pour pratiquer le surf, il suffit d’une planche et c’est pratiquement tout. La plus grande difficulté c’est de tenir sur cette dernière ou de trouver des vagues suffisamment grandes.
Ce sport est une véritable institution sur les côtes australiennes et américaines.

Le Stand Up Paddle

Le Stand Up Paddle (SUP), aussi appelé « planche à ramer » est un dérivé du surf. Cette activité nautique s’apparente beaucoup au surf, car elle implique aussi l’utilisation d’une planche. La seule différence c’est qu’avec le SUP, le pratiquant se sert d’une longue rame pour avancer. Ici il n’est donc pas nécessaire de trouver des vagues. Le Stand Up Paddle s’adresse aux personnes qui recherchent une activité calme et reposante.

La planche à voile

La planche à voile ou le Windsurf est l’alternative idéale lorsque l’on veut faire du surf sans vague. Ce sport consiste à tenir sur une planche dotée d’une grande voile rigide et de faire des figures acrobatiques. Le dispositif avance grâce à la puissance du vent qui vient frapper la voile.
Il s’agit d’une activité extrême étant donné que la planche à voile peut facilement dépasser les 50km/h et faire des bons très élevés en fonction de l’intensité du vent et de la houle.

Le kitesurf

Il ne faut pas confondre Windsurf et Kitesurf ou planche aérotractée. Dans le Kitesurf, la planche est combinée à une sorte de cerf-volant gigantesque qui sert de voile et que le pratiquant dirige pour pouvoir avancer et faire des figures.
Au kitesurf, le pratiquant a les pieds fixés à la planche et est relié à la voile via un système constitué de trois cordes.

Le ski nautique

Comme son nom l’indique, le ski nautique emprunte beaucoup à la pratique du ski, mais se fait sur l’eau. L’idée ici c’est de tenir sur une planche en se faisant tracter par un bateau à moteur. Le pratiquant est relié au bateau via une longue corde et la vitesse qu’il peut atteindre sur sa planche dépend de la vitesse de déplacement du bateau.
Au le ski nautique, il est possible de soit faire des pointes de vitesses, soit d’exécuter des figures acrobatiques, notamment grâce aux vagues créées par le déplacement du bateau.

Les pièces administratives

Chaque bateau doit disposer d’une plaque signalétique indiquant plusieurs informations. Parmi ces informations figurent : le nom du constructeur, le modèle du bateau, sa catégorie, sa capacité maximale en termes de charges (marchandises et personnes) et la puissance maximale du moteur. Ils doivent également posséder une immatriculation présentée à l’arrière et sur les deux flancs de la coque.
Aussi, pour pouvoir naviguer, le chef de bord doit posséder un permis de plaisance côtière pour les déplacements limités à six milles marins et un permis de plaisance hauturière pour les voyages sans limites de distance précises.

Les zones de navigations

Avant de prendre la mer, le chef de bord doit repérer les endroits ainsi que les abris dont il peut disposer en cas de problème. Concernant les zones de navigations, il y en a trois : la zone basique qui se trouve à deux milles d’un abri, la zone côtière à six milles et la zone hauturière qui se trouve au-delà de six milles. Un bateau ne peut naviguer qu’au niveau des zones où il est autorisé à le faire.
Aux trois zones s’ajoutent aussi les zones où la navigation est strictement interdite : les zones de baignade et les zones protégées.

La limitation de vitesse

Le non-respect des limitations de vitesse est souvent les sources principales des accidents. Dans les ports, la vitesse des navires ne doit pas dépasser les trois nœuds et durant la navigation elle ne doit pas dépasser les 5 nœuds.

Comment ça se pratique ?

Quand on veut pratiquer le bodyboard, il faut d’abord s’équiper d’une planche assez courte, mais aussi, de palmes au niveau des pieds. Dans le principe, on a quelque chose de semblable au surf, cependant, il faudra glisser sur la mer et les vagues, en position couchée sur la planche. Toujours concernant cette position, il vous faudra également, avoir le ventre bien à plat sur la planche et les coudes qui s’y appuient parfaitement. Vous allez alors, nager jusqu’à une vague, puis rejoindre les côtes en propulsant la nage avec vos palmes. Comme au surf, il est possible de glisser sur les vagues ou prendre des vagues. Vous pouvez aussi vous lancez dans différents types de figures acrobatiques, sans lâcher votre planche. Les vagues sur lesquelles vous allez faire des figures sont là pour vous aider à faire des sauts divers comme du back-flip ou encore, du front-flip et autres. Toutefois, vous n’avez pas besoin de faire des sauts comme des pros pour s’amuser dans le bodyboard. On peut en faire une simple pratique de glisse qui permet d’apprécier la mer et le soleil.

Pratiquer pour renforcer ses muscles

Comme tous les sports, le bodyboard est parfait pour tonifier le corps. Même si on doit s’allonger sur sa planche, cela ne veut pas dire que c’est un sport qui incite à la paresse. Il est nécessaire de bien se tenir en équilibre sur la planche. Ce qui va demander tous les muscles du corps à travailler et à contrer les effets vacillants des vagues. Devoir nager avec des palmes et s’allonger sans avoir de planche sur le bas du corps va aussi vous pousser à travailler vos muscles fessiers. D’ailleurs, ce sera très important pour pouvoir être bien propulsé avec les palmes, une fois que vous nagez. Cela va ainsi, vous permettre d’affiner votre corps et surtout, de raffermir les muscles des membres inférieurs. Par ailleurs, comme conseil, il est important de bien « serrer les fesses » quand on est sur la planche. Cette technique va vous permettre de maintenir un niveau d’équilibre constant en alignant vos hanches parfaitement. Pour ce qui est de vos bras, ils vont devoir également travailler. Ce sont eux qui joueront les gouvernails pour vous permettre de tourner à gauche ou à droite. En d’autres termes, même si la position des mains à la base, c’est d’avoir les coudes sur la planche, il faudra les mettre dans l’eau pour pouvoir voguer et avancer à la nage. En d’autres termes, vous aurez aussi les biceps et les triceps qui vont beaucoup travailler, en plus des hanches, des fessiers et de tous les muscles des jambes. Et pour finir, sachez aussi que pour se ternir en équilibre sur la planche, il est essentiel d’utiliser les abdos. Vous devez en effet, vous relevez un peu en vous appuyant sur vos coudes, des fois, et être bien allongé dans d’autres situations. Ce qui sollicite vos muscles abdominaux.

Comment éviter les usures mécaniques

Avec les matériaux utilisés aujourd’hui, les fibres de tissu peuvent se casser à cause de leurs fortes résistances et le fasseyement qui peut survenir. Ces cassures sont très fréquentes sur les bordures et la chute. Un délaminage peut survenir à ses endroits pour les matériaux laminés. Pour minimiser les dégâts, l’installation d’un enrouleur ou un emmagasineur sur le génois. Vous pourrez alors le dérouler facilement. Si des problèmes fasseyement surviennent encore après avoir bordé le plat-au-près, pensez à vérifier la tension du nerf de chute. Il se peut que celle-ci soit insuffisante. Vous devez alors le rectifier sans trop exagérer pour éviter que la voile soit bridée.

Comment réagir face au ragage ?

Le ragage peut favoriser l’usure sur un point précis souvent au niveau des chandeliers, des cordages ou encore sur les barres des flèches. Vous aurez besoin de patchs de tissu insignia pour apporter plus de protection à la voile. Vous pouvez les placer à l’endroit où la voile passe sur les barres de flèche. En ce qui concerne les autres pièces métalliques, vous devez recouvrir avec l’adhésif vulcanisant.

Le rinçage des voiles : pour mieux les préserver

Le rinçage des voiles est indispensable à chaque fin de saison. Il faut le faire avec de l’eau claire pour enlever toutes les traces d’eau de mer encore présente sur la voile. Sans cela des moisissures peuvent se former sur celle-ci durant la période d’hivernage du bateau. Les particules de sel favorisent en effet l’apparition de l’humidité. Elles sont également très corrosives et peuvent détruire les accessoires métalliques qui constituent votre voile. Cependant, si des points noirs apparaissent sur la voile, vous devez la mettre dans un bac immense et la laver avec l’eau savonneuse. Si les taches refusent de disparaître, optez pour l’acide oxalique. Après l’avoir dilué, vous devez la surface tachetée. Pensez à rincer votre voile avec de l’eau claire pour éviter que le produit n’endommage le tissu.

N’oubliez pas de sécher les voiles

Vous devez sécher votre voile avant de le mettre en stockage. Pour le faire, vous devez la hisser et la border. Votre voile prendra environ une heure pour sécher. Cependant, assurez-vous qu’une fois mouillé, aucun problème de fasseyement ne survient et qu’elle ne soit pas assez lourde au risque de déformer les coutures. Il existe également la solution de séchage à plat. Cette technique est très efficace pour les voiles en nylon. Il faut cependant penser à retourner la voile pour que les deux côtés sèchent parfaitement. Cela évitera la formation des moisissures.

Les informations à connaitre pour le choix des chaussures d’alpiniste

Dans un premier temps, il est important que vos chaussures d’alpiniste soient bien étanches et imperméables. Cela permet de s’adapter au climat en montagne, qu’il pleuve ou que le sol soit enneigé. Cependant, il est également nécessaire que la paire soit bien rigide et bien solide, car le sol et les situations en montagne peuvent piquer avec les rochers qui s’y trouvent. Par ailleurs, si vous aimez les zones rocheuses, il est même recommandé de ne porter que des chaussures avec des pointes affinées et une semelle qui soit souple, mais bien solide. Il est aussi important que vos chaussures soient légères pour faciliter les montées et la grimpe. Si vous effectuez une montée sur des zones glacières, faites en sorte que votre chaussure dispose d’une semelle bien rigide. Elle devra aussi vous protéger contre le froid et vous évitez d’avoir les pieds et les orteils glacés quand vous effectuez votre escalade ou que vous vous reposiez une fois en hauteur. Comme référence, parmi les marques les plus performantes quand on parle de chaussures d’alpinisme, Simond est un des leaders sur le marché. Vous avez des modèles adaptés aux hommes comme aux femmes chez cette enseigne avec des chaussures adaptées à une escalade sur des rochers ainsi que sur des zones glacières. Vous avez aussi la marque Scarpa qui se spécialise dans les chaussures pour alpinistes. Si vous voulez comparer les modèles, cherchez du côté de la maison La Sportiva qui offre également des chaussures de qualité parmi ses produits.

Bien faire le choix de ses crampons avant de se lancer dans des escalades

Un autre accessoire très important qu’un alpiniste aura besoin, c’est les crampons. Ces derniers doivent s’adapter au type de chaussures que vous avez choisi, mais aussi, à l’activité d’escalade que vous souhaitez pratiquer. De ce fait, si votre objectif est de faire une escalade de type randonnée, dans une zone glacière, il existe des crampons légers qui permettent de pratiquer favorablement ce sport. Ces derniers auront 10 pointes en moyenne et disposeront d’une pente qui s’incline à environ 30 °. Si c’est pour une escalade sur une montagne, vous devez avoir 12 pointes en moyenne sur votre crampon. Vous aurez en effet, à bien vous accrocher durant la montée, ce qui nécessite un nombre plus important de pointes. Vous aurez une inclinaison à 60 ° de ces derniers pour favoriser la prise. Pour ceux qui veulent grimper sur les flancs nord d’une montagne avec des glacières ou sur des goulottes, les crampons doivent être particulièrement rigides avec des pointes à 90 °. Cela permet de gravir de pentes rigides et glissantes, en limitant les risques de chute.

Les jet-boats ou bateaux à jet, les runaboats et les dinghies

Le bateau à jet dits en anglais jet-boats est un bateau mesurant 4 à 8 mètres de long capable d’accueillir jusqu’à 10 personnes et très recommandé pour une croisière d’une journée. Ce bateau ne possède pas d’hélice de navigation, c’est pourquoi il peut être utilisé même pour des navigations en eau profonde. A sa différence, le runaboat mesure tout au plus 7 mètres avec un volant, un pare-brise et des boutons de commande lui conférant la qualité d’un bateau de plaisance. Enfin, les dinghies sont des petites embarcations légères sans cabines utilisées surtout pour les sports nautiques ou pour les activités de pêche.

Les bateaux de pêche sportive, les bateaux-ponton et les bateaux hautes performances

En plus de ces bateaux de plaisance, il y a aussi les bateaux de pêche sportive qui, comme leur nom l’indique, sont des bateaux conçus spécialement pour poursuivre les gros poissons en ayant des moteurs propulseurs placés dans la coque. Les bateaux-ponton sont très stables avec un ponton ayant deux flotteurs cylindriques, et ils sont fabriqués pour avoir la capacité d’effectuer une croisière pas plus de deux jours en accueillant environ 25 personnes. Enfin, les bateaux hautes performances ou offshore ont un design racé et très aérodynamique qui mesure jusqu’à 15 mètres de long et ne peuvent accueillir qu’un maximum de 6 personnes.

Il faut bien suivre les principes de pilotage

Avant de se lancer en mer, il y a certaines vérifications impératives à faire comme de contrôler le bateau, la météo et faire une mini check-list mécanique. Ceci fait, on peut voir les autres points. Pour bien piloter un bateau, on doit aussi respecter quelques points. Il faut commencer par le respect des règles de navigation dont la plus importante est de ne pas dépasser la vitesse de 5 nœuds dans un rayon de 300 mètres de la côte. Le but de cette règle est d’avoir une vitesse raisonnable qui ne gêne pas les autres et qui évite tout accident. Cette dernière garantit qu’on a une bonne visibilité sur tout l’entourage notamment les récifs et les plaisanciers. Le deuxième principe à suivre à la lettre est de toujours garder une main sur le levier de gaz et de se raccorder au coupe-circuit. C’est ce cordon que l’on accroche au poignet et qui permet la coupure du moteur au cas où vous tombez à l’eau.

Une conduite adaptée à l’état de la mer

Une fois sur mer, vous êtes réellement face à elle et ne pourrez plus faire machine arrière. Pour retourner sain et sauf au quai, vous devez avoir une conduite exemplaire qui est étroitement liée à l’état de la mer. Par exemple, en cas de clapots courts (source d’inconforts), il faut garder une vitesse raisonnable et de les « survoler » tout simplement. En cas de vagues et que le bateau tangue, il faudra bien les négocier et piloter avec souplesse pour les surmonter. La bonne utilisation des trims et des flaps reste aussi un des grands défis d’un bon pilote marin. Ces outils permettent de soulever l’arrière du bateau lors du déjaugeage. Il faut ensuite les relever pour trouver le bon équilibre. Par mer arrière, le bateau a tendance à enfourner, donc il faut soulager l’avant en montant le trim (positif). Par mer en face, par contre, il faut faire le contraire (négatif) en le baissant pour éviter que la coque subisse des retombées très inconfortables.

Il faut toujours faire attention

Le premier principe de pilotage à ne pas oublier lorsqu’on est en pleine mer est de garder le calme et le sang-froid. Il sera de votre rôle en tant que pilote, d’essayer de rassurer vos passagers en cas de problème. En effet, vous devez donner l’exemple et éviter de paniquer et de crier partout. Procéder aux manœuvres avec calme vous permettra d’agir correctement, mais surtout de donner confiance à votre équipage. Votre principale mission en cas de souci sur mer sera alors de stabiliser l’embarquement, d’essayer de gérer la panne s’il y en a, et de faire appel à de l’aide si la situation est hors de contrôle.